Infiltration dans la Palais

Kallen s'approcha des lambris. Elle passa son couteau dans une interstice, et un loquet tombas. Elle poussa le panneau de bois. c'était un passage utilisé par les serviteurs, et qui courais le long de tous les appartements.

Cette fois était la bonne. Elle arriva devant une porte qui semblait correspondre. Elle sortit un crocheteur et enfonça la fine lame dans la serrure. La porte était assez ancienne, la serrure céda très rapidement. Elle entrouvrit la porte avec appréhension.

Le Chancelier se tenait en face d'elle. Il semblait regarder lassivement par la fenêtre. Il était si absorbé qu'il ne remarqua pas la sang mêlé de suite.
Kallen, fière d'elle s'avança vers lui.

- Alors, dit-elle un sourire au lèvre, vous pouvez me dire merci, si je vous avais écouté je serais loin au Volkona et vous, et bien vous seriez toujours là...en otage! Maintenant, et vous n'avez rien a dire, on s'en va, ne vous inquiéter pas j'ai une issu sans garde.

Elle attendit la réaction de son supérieur toujours pensif avec appréhension. S'il refusait elle serait probablement obligé de l'assommer et c'est une chose qu'elle voulait éviter

Heinrich regardait toujours par delà l'horizon.Le Parc semblait si calme dans cette tourmente. Sans se retourner, il dit à la jeune femme:
Vous savez vous avez désobéis. Vous deviez aller en Volkona pour votre sécurité.
Mais le geste montrant votre loyauté,je dois dire que j'en suis très touché; Je vous demande de me laisser écrire juste un petit mot pour mon hôte.
Heinrich prit la plume et l'encre, rédigea d'un trait une lettre pour le Régent:
"C'est perdu mon cher, vous devriez vous rendre. Je ne pardonne jamais et n'oublie jamais. Vous pouvez craindre pour vous dorénavant et arrêter de vous préoccupez de moi. Amicalement bien entendu S.A.I le Prince Heinrich von Laibach"
Heinrich mit la lettre en évidence et dit:
Nous pouvons y aller maintenant.
Ils partirent d'où venez la courageuse Kallen et se fondirent dans les couloirs du Palais.