Couronnement prochain

Heinrich en apprenant la nouvelle fût complétement bouleversé. Cela était arrivé si vite, si brusquement. Comment les dieux pouvaient ils disposer des hommes de la sorte?
L'empire sombrait petit à petit dans un profond désarroi, il lui incombait la tache de le relevait.
Le nouvel futur empereur se dirigea vers un de ses secrétaires et lui dit:
Monsieur, faites savoir dans tous l'Empire que j'accepte la tâche qui m'a été confié par les Dieux et que le jour du sacre du le peuple sera convié.
L'homme prit en note les paroles du prince et partit pour faire savoir la nouvelle.

Heinrich regardait toujours par la fenêtre comme évanoui dans un songe. Puis accepta les évènements un à un.Il acceptait le changement: moucheron que nous sommes pensaient ils, écume, fourmis jusqu'à la mort.
Et d'une voix basse et sure:
"Ce n'est que le commencement"
Enfin le prince demanda à ce que l'on vienne lui détaillé les préparatifs du sacre.

Le fameux secrétaire au protocole entra. Le dernier couronnement était assez vieux, aussi avait il ressortit registres et gravures.

- Vous devrez d'abord vous prosterner devant chaque Liturge, qui vous bénira. Puis le haut Liturge et le Liturge de Demian vous passerons rapidement chaqu'un de vos attribus, des couronnes pour la plus part qui ne feront qu'efleurer votre tete, avant de poser la cape et la couronne imperiale, plus, bien sur, le cor d'argent d'Harold le grand. Ce sera a leur tour de se prosterner devant vous, ce que feront d'ailleurs l'ensemble des comtes, ainsi que la prince Konstantion. Voila pour la partie obligatoire. le reste de la cérémonie se fera selon votre preferance. Certains empereurs ont abandonnés la couronne de fer au début de cérémonie, d'autres l'ont fait a part, dans le palais ou dans le temple de Demian, voir dans le palais comtale de Laibach

Le Prince restait perplexe. Tant de codes. Il voyait ce fonctionnaire si à cheval sur un sujet qu'il n'avait guère l'air de connaitre. Il reprit et dit:
Bien, je me plierais à la tradition. En ce qui concerne la couronne de fer, je la céderais à mon cousin Konstantin.Je veux que cela soit fait dans le palais comtale de Laibach après le sacre. Rien ne presse.
Pour le reste, j'exige que des banquets soient dréssés dans toutes la villes. C'est un jour de fête pour tous donc rien ne sera payant chacun se servira à sa guise.
Je veux pouvoir lancé des pièces d'or pour les pauvres devant le temple, alors prévoyez en un stock suffisant. Par la suite nous irons au Palais Impérial où je consens à faire le traditionnel discours du Balcon.
Nous recevrons tous les nobles de l'Empire pour un banquets général. A ma droite sera assis le Prince Konstantion (prévoyez des verres opaques pour lui),la commandeure sera assise à coté de lui. Et à ma gauche le grand lithurge. De plus je veux la reine mère de Francie et les représentants morvandois le plus loin possibles les uns des autres. Mais à égale distance de ma personne.
La famille Aslanov même non noble sera conviée dans son intégralité.
Si les intendants ne peuvent faire le déplacements je le comprendrais mais cela pourrait leur devenir dommageable.
Pour clore cette soirée je veux que un feux d'artifices soit tiré des jardins impériaux et des bords du fleuve pour que le peuple en profite.
Voila je crois que nous avons tous dit.

le secrétaire prit rapidement en note les indications. Il relu son papier

- Je n'ai pas souvenir que la couronne de fer ait été cédée après le couronnement en 1200 ans...

Il leva un sourcil imperceptible. Ce n'était pas une obligation, mais cela sonnais tout de même comme un reproche.

Le Prince n'avait que faire des remarques d'un "gratte-papier", il dut répliquer:
Pouvez vous me rappeler qui porte la couronne et qui la cède?
L'homme ne répondit pas.
Je vais le faire pour vous, c'est moi et je décide que d'un point de vue pratique il me serait plus agréable de là céder après. Suis je clair ?
Mais si cela tracasse tellement votre personne de "haute condition" envoyez à mon cousin qui est déjà à Laibach le certificat du Titre.
Le Prince avait adopté volontairement le ton ironique, pour remettre à sa place ce laquais.