Arivée en ville.

Il fallait s'y attendre, les drapeaux en berne rencontrés tout le long de la route, indiquaient qu'un sombre évènement avait eu lieu. L'arrivée sur Kapen-Lagen présenta à Alner une capitale, comme les autres, avec ses grandes artères, ses immenses batiments et ses murailles. Les murailles justement lui posait un problème, les cloches sonnants au loin indique un enterrement, et les portes sont fermés. Teeldorg à le choix, soit attendre, soit forcé l'entré, soit passer par le caniveau à coté de la chaussé, qui doit très certainement mené à l'égout. Après mûr reflexion sur le fait qu'une grande ville donne certains avantages. Il tenta donc sa chance par le caniveau. Comme lui indiquait toute ses supossitions, un grillage cadenassé donne sur les égouts. Après un crochetage assez hasardeux avec un bout de fer ramassé dans le coin, il réussit à ouvrir le grillage et à pénétrer dans les égouts.

Commençant son chemain dans les égouts, il trouva un genre d'étagères, avec tout ce qui pourrait servir au personnel d'entretien, Alner prit une torche, l'alluma et continua dans la puanteur locale. Il lui fallut bien un uqart d'heure pour trouver une première bouche d'égouts, mais elle semblait avoir était scéllé. Il manqua par deux fois une patrouille d'égoutiers, puis ils tomba finalement sur une bouche non-scellé. Du haut de l'échèlle, il l'ouvrit suffisament pour voir ou il se trouvait, dans une impasse. Il sorti enfin à l'air libre, et pris, après le bonne air de l'égout, le bonne air de la ville. Non-content se son aventure souterraine, il sentait très fort, si la milice devait se pointé, même avec son visa, ça ne serait pas chose simple, d'autant que l'envie de prendre un bain (ce qui ne fût pas le cas depuis son départ du Belondor) commençer à se faire sentir.

Verifiant au bout de l'impasse, la proximité d'une auberge, il en repéra une tout près, à bonnes distances des grandes artères et en même temps, pas assez malfamé pour que la clientèle y soit infréquentable. Tout bonnement, Teeldorg, se dépêcha, malgré son barda et ses armes sur le dos, d'entrez fissa avant l'arivée d'une nouvelle surprise. L'intérieur était plutot sympathique, et même moins craignosse que prévue, le gérant derrière sa caisse ayant remarqué l'entré d'un badeau, ne s'empécha pas de porté ses doigts à son nez, sentant visiblement qu'Alner entrait. Celui-ci s'avança, et commença un début de conversation le plus neutre possible, surtout ne pas en rajouté.

-Bonjour, vous avez une chambre de libre ? Ainsi qu'un bain ? Et j'aurais besoin des adresses des journaux du secteur s'il vous plait.

l'homme leva la tète.
- Bien sur. C'est une demi-couronne la nuit, 5 siegers le soupé, 5 siegers le bain. Si vous prenez le tout, ça fait donc une couronne. Ce soir, c'est cotes de porc et haricots ou ratatouille, avec une galette de pain et l'eau, bien entendu.

-les anciens locaux du renouveau, qui a été censuré, se trouvaient rue du panthéon... vous la reconnaitrai... a la présence du panthéon. Sinon il y a la gazette impériale, juste a coté du ministère des affaires intérieures.

-Je vais tout prendre ! Vous pouvez pas imaginez à quel point je suis bien content d'être ici. Vous avez de quoi noté ? J'ai besoin de travail.

Alner s'intérrogea, ça doit être un gros gratin qu'on enterre aujourd'hui, mais la prudence reste de mise, il est encore un simple étranger, et le type le regarde toujours du coin de l'oeil.

- je doit avoir une ou deux feuilles de papier qui trainent... nos chambres sont individuelles, contrairement a celles d'établissements moins qualitatifs. j'en mettrait sur votre table.

mais si vous comptez écrire pour la gazette, faites attention a ce que vous mettez... vous pourriez vous retrouver enfermer, comme ces pauvres gars du renouveau.