Négociation

Vlad Von Waldenhof avait passé la nuit à l'hotel. Le rendez-vous était aujourd'hui avec son contact. Il descendit les escalier et retrouva ses hommes dans la cours central, quatre cavaliers en grand manteau noir, la capuche sur leur tête pour se protéger de la pluie qui tombait en rafale ce jour là. Vlad s'approcha d'un cavalier et lui demanda:

-"Vous l'avez ?"

Le cavalier se contenta de hocher la tête. Vlad aperçut un homme endormie et ligoté placé à l'arrières de la scelle.

-"Parfait, alors en route, il faut rejoindre les autres. Je ne veus pas que cette rencontre ce passe mal c'est comprit ? Le reste du groupe nous rejoindra dans quelques heures au point de rendez-vous."

Vlad monta sur son cheval et fit signe aux cavaliers d'avancer. Les cinq cavaliers quittèrent la ville au grand galop disparaissant sous le rideau de pluie à l'horizon, bientôt rejoint par une dizaine d'autres cavaliers.

La pluie avait cessée, Vlad Von Waldenhof et ses quatre cavaliers approchaient de la forêt Helzonienne. Il leva le poing une fois arrivé devant l'orée. Les Cavalier se stoppèrent.
Vlad n'était pas confiant, le silence de cette forêt était presque assourdissant.

-" En formation tout le monde !" hurla t-il.

Les cavalier se mirent en carré autour de Vlad, les pistolet à poudres sortie et pointé devant eux. Rien ne bougeait. L'angoisse commença à monter, les chevaux hennir, de l'air condencé sortant de leur narine.

-" Ils sont là, ne baissés pas la garde, on avance doucement." dit Vlad, son pistolet chargé et la main sur le pomaux de son épée.

Les cinq cavaliers s'enfoncèrent dans la forêt, la présence de chaque arbres devenaient oppressent. Le sentier battue n'avait pas été utilisé depuis longtemps, mais Vlad remarqua des traces de pied récentes dans la boue.
Soudain, un homme en manteau marron sortit de derrière un arbre, une épée et une arbalète à la main.

-"Bonjours mes seigneurs, le voyage pour vous s'arrête ici, déposer toute vos pocéssions et vous repartirez peut-être."hurla l'homme

Six autre hommes avec arbalètes sortirent de derrière les arbres et se placèrent devant les cavaliers, cinq autres derrière eux, la voie était coupé, une douzaine d'arbalète pointé sur eux. Un cavalier regarda Vlad, celui-ci abaissa la tête. Le cavalier siffla de toute ses forces, les bandits le pointèrent de leur arbalètes.

-"A quoi jouez-vous messieurs ? Vous croyez que quelqu'un peut venir à votre rescousse ici ?"

Vlad ne répondit pas, le silence fut stoppé par des bruits de sabots, les bandits se retournèrent tous et remarquèrent au bout de quelques secondes qu'ils étaient encerclés par une douzaine d'autres cavaliers en manteau noir, leur pistolets braqués sur eux.

-" Je vous retourne votre question mon ami, qui pourra bien venir vous aider ici ?"

Les bandits pointèrent leurs arbalètes dans tout les sens, ne sachant pas quelle cible prendre. Le chef eu un rictus puis se mis à rire:

-"Ok, c'est bon, on vous laisse partir, on oublit tout ça."

-" Je crois que vous vous trompez de personne, abaissés vos armes, jouer les bandits ne vous va pas, j'ai rendez vous avec un certain Herman pour commencer les négociations avec lui."

Les bandits abaissèrent leur arbalètes, les cavaliers les tinrent encore en joue. Vlad tendit un bout de parchemin devant le chef des bandits, celui-ci s'approcha pour mieux voir et écarquilla les yeux.

-"Vous êtes en avance monsieur, Herman a ce que vous voulez, je pense que vous avez ce que nous voulons ?"

-"Vous sous entendez que je pourrais vous tendre un piège ?"

Le chef regarda autour de lui, les cavaliers n'avaient toujours pas abaissé leur pistolets.

-" Je crois que nous nous sommes touts les deux rencontré en de mauvaises circonstances, mais nous pourrions partir sur de meilleurs bases."

Vlad fit signe aux cavaliers, ceux-ci abaissèrent leur pistolets mais ne quittèrent pas les bandits des yeux.

-" Passé devant, vous n'êtes pas en mesure de protester."

Le chef leva les bras en signe de défaite puis il donna l'ordre à ses hommes de le suivre. Les cavaliers fermèrent la marche, Vlad passa devant avec le chef des brigants

-" Si vous me faite tomber dans une embuscade, votre tête tombera avant le premier coup de feu, vous avez ma parole."

Pour allier le geste à la parole, Vlad posa sa main autours de la garde de son épée. Le chef concidéra cette menace secouant la tête.

-" Mais vous n'aurez jamais ce que vous êtes venue chercher dans cas." répliqua celui-ci.